« Torbalan », c’est quoi ce nom ?
Prononcez «Torrrbalane », et pensez à cet homme qui porte un sac sur le dos. Pas exactement le Père Noël, non. La terreur des enfants. The Sack Man. The Bogeyman. Le croquemitaine bulgare. Petit hommage de la fondatrice à ses racines là-bas dans les Rhodopes.
Quelle est la ligne éditoriale ?
Dans ce fanzine, nous parlons beaucoup de culture fantastique et horrifique mais aussi de fantasy et SF dans la littérature, le cinéma, le théâtre, les jeux…
Nous publions également des nouvelles qui font parfois l’objet d’appels à texte (voir rubrique AT).
Quelle fréquence de publi ?
Torbalan est pour le moment pensé pour être bi ou tri-annuel, selon le temps qu’on pourra y consacrer. Enfin, c’est un fanzine indépendant, ce qui signifie que nous faisons ce que nous voulons, quand nous pouvons. Mais toujours avec passion.
Torbalan est-il une maison d’édition ?
Non, point du tout ! Nous avons créé une association loi 1901 pour porter notre fanzine (si un jour on veut participer à un salon par exemple) et d’autres projets artistiques sur les mêmes thèmes.
Pourquoi un fanzine numérique (pdf) ?
Pour des raisons très pratiques de logistique et de budget, tout simplement ! Cela nous permet aussi de mettre des illustrations en couleur sans compter.
A quand une version papier ?
Comme nous en rêvions, nous avons étudié la question et lancé un sondage auprès de nos lecteurs. Il en ressort que peu de monde est prêt à l’acheter à un prix suffisant pour que nous ne perdions pas d’argent. Une version papier, c’est des frais d’impression, des frais d’envoi, des numéros gratuits pour les auteurs et illustrateurs à prévoir, bref… nous avons abandonné l’idée pour le moment.